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La lumière veloutée des clichés de Dolorès Marat
La lumière veloutée des clichés de Dolorès Marat

| A de M de La Cerda 400 mots

La lumière veloutée des clichés de Dolorès Marat

Femme aux gants Photo Dolorès Marat.jpg
Femme aux gants Photo Dolorès Marat.jpg ©
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Les jambes du métro Saint Paul.jpg
Les jambes du métro Saint Paul.jpg ©
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 Pour fêter le 7ème anniversaire de la galerie l'Angle,   son directeur Didier  Mandart, designer et collectionneur passionné de photographie,  aura l’honneur de recevoir  Dolorès Marat.

Alors qu'elle n'était pas passée par une école de photographie, comment  Dolorès Marat (1944), a-elle réussi à devenir une personnalité de la photographie ?

A l'âge de 19 ans, passionnée par ce mode d'expression, mais  n'ayant pas les moyens de continuer ses études dans ce domaine,  elle fut  engagée  comme apprentie dans la boutique du photographe Froissard à Sucy-en-Brie.   Durant trois ans,  elle y appris le métier : développer les films, tirer, retoucher, faire des photos de mariage, réaliser des portraits et commercialiser les tirages.  Six ans plus tard, une seconde  opportunité s'offrait à elle, Dolorès Marat décrochait un travail de laborantine et tireuse au laboratoire de photo noir et blanc du magazine de "L’Oréal - Votre beauté". Cette  seconde expérience qui lui permis connaître les plus célèbres photographes de l'époque : Guy Bourdin, Helmut Newton, Jean-Loup Sieff…

A New York en 1994 à l’occasion d’une commande, Dolorès Marat découvrit cette capitale qui l'a fascine. Une ville américaine où elle eut l'opportunité d'organiser deux expositions à la Witkin Gallery . Elle publia par la suite  un album sur ses nombreux séjours..
Photographe  free lance, les commandes s'enchaînent pour Hermès, J.M. Weston, Leica, le conservatoire du Littoral et  la presse quotidienne (le Monde, l'Express...°

Ses images sur papier japonais capturées sans recadrage à la technique d'impressions pigmentées, offrent une texture et une palette de couleurs veloutée emprunté au procédé Fresson (une quadrichromie au charbon direct).  Le style de ses clichés du surréalisme de "L'arbre qui marche" à "la femme aux gants" traduisent l'extraordinaire dans l'ordinaire.   "L’art est une blessure qui devient lumière" Georges Braque.  

Exposition "L'arbre qui marche", du 2 mai au 8 juin 2025 à la galerie l'Angle 6 rue des Citronniers à Hendaye. Ouvert du jeudi au samedi : 11h/13h - 16h/19h - le  dimanche : 11h/13h  ou RDV, par téléphone au +33 680 06 28 57 ou par e-mail à contact@langlephotos.fr
Vendredi 2 mai à 18h30 au cinéma Getari Enea à Guéthary . Soirée de projection du documentaire "Dolorès" de Thomas Goupille / The Darkroom Rumour, en présence de la photographe, 
Vernissage de l’exposition et signatures en compagnie de Dolorès Marat, à L'ANGLE 6 rue des Citronniers à Hendaye, le lendemain samedi 3 mai à partir de 17h.

L'homme qui marche -Photo Dolorès Marat.jpg
L'arbre qui marche - Photo Dolorès Marat.jpg ©
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