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L'Océan
Partenariat avec la Fondation Elkano et la ville d'Hendaye
Partenariat avec la Fondation Elkano et la ville d'Hendaye

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Partenariat avec la Fondation Elkano et la ville d'Hendaye

La Patache -photo Manex Barace.jpg
La Patache "Juanita Larando" ©Manex Barace ©
La Patache -photo Manex Barace.jpg

Dans le cadre de la fête de la mer d'Hendaye et de notre partenariat avec la Fondation Elkano, nous avons eu l'honneur et le grand plaisir d'accueillir la "patache" construite par le chantier/musée Albaola de Pasajes. Cette "patache" porte le nom de Juanita Larando, femme corsaire de Donosti/Saint Sebastien du XVIIème siècle.

C'était aussi l'occasion de célèbrer le 500ème anniversaire du premier tour du monde (1519-1522) réalisé par le basque Juan Sebastian Elkano originaire de Getaria. 

Dans ce cadre, la Ville d'Hendaye a signé une convention de partenariat avec la Fondation Elkano au même titre que tous les autres ports du Gipuzkoa, de Bizkaia et de Lapurdi, le Gouvernement Autonome d'Euskadi, la Diputacion du Gipuzkoa et l'Agglomération Pays basque notamment.

Effectivement, Juan Sebastian Elkano débarqua à Seville en 1522 (avec 18 hommes d'équipage sur le navire "Vitoria", alors que l'expédition qui démarra en 1519 comptait 5 vaisseaux et 239 hommes d'équipage).

Cet anniversaire est également l'occasion d'approfondir et de valoriser la connaissance sur les contributions basques à ce 1er tour du monde. Cet évènement nous permet de mettre en lumière la technologie de la construction navale, les métiers maritimes, les modes de vie et en définitive, la culture d'un peuple attaché à la mer.

Un grand merci à tous les organisateurs et participants, et plus particulièrement à la Fondation Elkano, au musée-atelier Albaola, à Endaika et à son Président d'honneur Andoni Etxarri, au groupe de danse Mutxiko Elkartea, à Urpean, à la Régie des Fêtes en la personne de son Président Laurent Pelegrin et à tout l'équipage surprise de la "patache" essentiellement constitué de migrants en situation régulière qui ont exprimé leur douleur pour leurs congénères décédés sur la Bidassoa et d'autres frontières ainsi que l'espoir d'un monde sans frontière.

(Photos Manex Barace) 

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