Avec huit productions proposées pour la prochaine saison 2024/2025, le Metropolitan Opera de New York offre un panorama des plus grands classiques du répertoire. Opéras-bouffe réjouissants et tragédies bouleversantes rythment le programme, qui présentera également une nouvelle création ocontemporaine américaine. Du 18ème siècle de Mozart au 21ème siècle de Jeanine Tesori, chaque œuvre explore, à sa manière, le plus noble et le plus terrible de la nature humaine au travers de partitions et livrets magnifiés par des mises en scène toujours plus remarquables.
La saison 2024 - 2025 comprendra 8 opéras
Premier rendez-vous le samedi 12 octobre 2024 : Les contes d’Hoffmann (Offenbach)
Dimanche 27 octobre : Grounded (Tesori)
Samedi 30 novembre : Tosca (Puccini)
Dimanche 2 février 2025 : Aïda (Verdi)
Samedi 15 mars : Fidelio (Beethoven)
Vendredi 2 mai : Les noces de Figaro (Mozart)
Samedi 17 mai : Salomé (Strauss)
Samedi 7 juin : Le barbier de Séville (Rossini)
Il est possible de réserver dès maintenant les Pass 8, 6 et 4 spectacles et de bénéficier de tarifs préférentiels auprès de Destination Biarritz.
Réservations : Destination Biarritz - Square d’Ixelles 05.59.22.44.66, en ligne : www.tourisme.biarritz.fr
et à l’accueil de la Gare du Midi le soir du spectacle.
Horaires d’ouverture de la billetterie à retrouver sur https://tourisme.biarritz.fr/fr/point-infos
Note de la rédaction
Le Metropolitan Opera de New York avait accompagné sa nouvelle production de Turandot de Puccini d’un très long texte sur les « insensibilités culturelles » de cet opéra, qui serait soi-disant « truffé de contradictions, de déformations et de stéréotypes raciaux » : « Il n’est donc pas surprenant que de nombreux spectateurs d’origine chinoise trouvent difficile de voir leur propre héritage récupéré, fétichisé ou dépeint comme sauvage, sanguinaire ou rétrograde »...
Or, il résulte paradoxal que les Américains expriment ces "réserves" ne semblent aucunement partagées par les Chinois eux-mêmes, cet opéra ayant été représenté sans l’ombre d’une réserve, en particulier dans un très grand spectacle à la Cité interdite en 1998, et en 2019 à Shanghai...
Et on peut espérer que les prochaines représentations du MetOpéra de New-York ne suivent pas l'exemple de la réécriture dans le style du wokisme "me-too" le plus stupide effectuée par l’Opéra de Washington qui avait fait refaire la fin du livret de cette même œuvre (inachevée) de Puccini selon « un filtre contemporain ».
ALC