En voisinage de côte, il est courant de voir la présence de mouettes souvent confondues avec les goélands, coutumiers de nos territoires.
Une différence pratiquée chez nous et peu en Angleterre où les deux espèces sont considérées en commun.
Leur robe selon les espèces est superbe.
Du blanc, du gris, des pattes jaunes ou rouges ou tachetées de ces deux couleurs, des pieds à trois volets pour certains, palmés ou griffés, l’espèce semble avoir désiré s’incarner de beauté d’un blanc sublime, auquel on ajoute selon les saisons, les parures de circonstance.
Affaire de convenance, usage de séduction, nul ne le sait !
L’oiseau particulièrement répandu dans les côtes normandes françaises, anglaises de l’autre côté de la Manche, la mouette ou le goéland sont dans leur domaine de prédilection en mer et sur les rivages, selon les opportunités du moment.
Se nourrir est primordial, se reproduire un souci majeur, il faut parer à l'ordinaire et conjurer les menaces sur l'espèce.
Car l’oiseau est un être libre, sans contrainte, se nourrissant de poissons, de coquillages, de viandes, de tout ce qui peut traîner aux abords d’un quai, des restes de la consommation humaine, un grand nettoyeur écologique de ces zones parfois peu ou prou entretenues par les usagers.
On dénombre jusqu’à 23 espèces de mouettes, aux noms charmeurs, pygmée, rieuse, argentée, de Bonaparte, des Andes, brune et bien davantage pour les ornithologues à la tâche pour mieux les distinguer et pouvoir les comparer.
De 300 gr et de 30 cm, la mouette habituelle porte un bec rouge, mais elle peut aussi disposer selon l’espèce d’un bec jaune tacheté de rouge, et lors de la reproduction posé sur le dos de la femelle se parer de capuchon brun commun au male et à la femelle.
La ponte est généreuse et la couvée une servitude pour la mère et l'espèce.
Tout est dans les apparences sinon fortuites apprêtées pour les us de circonstance.
Une garde robe qui sous les apprêts est finement modifiée aux nécessités du moment comme ces élégantes qui ne lésinent à braver la beauté à son tarif élevé. On découvre chez la femelle une couronnes autour de la tête lors de ces jubilations amoureuses, de quoi faire languir d'envie ces souveraines privées de telles gratifications !
On évalue à 750 000 espèces de mouettes en France, portant pour nombre d’entre elles le nom de leucophée pour certaines, ou encore de mouettes argentées.
Comme observé les comparant, les nuances de teinte, de plumage, d’assortiment coloré des extrémités des ailes, des pattes jaunes ou plus sombres donnent matière à présentation de modèles existants imparables.
Pour un couturier en quête de sujet la source est inépuisable ! Son imagination peut en convenir et choisir le profil le plus ressemblant avec ces demandes informelles de coquettes en grâce.
Le goéland, imposant volatile la taille peut atteindre 67 cm, un kg de poids et si l’on évalue à 173 000 ces volatiles argentés, on distingue 65 000 autres leucophées, donnant jusqu’à 1, 5 m d’envergure au goéland marin notable au cours de son vol si dominant à la surface marine. On imaginerait sans peine un être subaquatique revenu à la surface pour parader à hauteur de marée !
Goélands et mouettes sont bien des carnivores, et des piscivores, tout ce qui pourrait traîner sur les quais, les embarcations, les rives des fleuves et les ports est visitable par ces passants particulièrement observants des conduites humaines.
Ne laissez donc pas traîner votre repas sur le quai de l’embarcadère, il pourrait faire l’objet diligent de ce visiteur en demande pressée!
La ressemblance avec l’albatros, le pétrel, le fou de mer, les pélicans est notable, mais les comparer ne se refuse à les distinguer, car la nature ayant su les ajuster à leur destinée, l’ornithologue expert se refuse à les confondre ou les mélanger !
Les marins considèrent les mouettes - goélands comme des sujets cultes de leur voyage initiatique infini vers le grand large, rappelant les âmes des morts en mer, des esprits de la profondeur marine, en somme des sujets fétiches de leur compagnie et de leur mission maritime !
Les écrivains et les peintres se sont bien inspirés de cet oiseau mystérieux, entre ciel et terre, proche et si peu domesticable par l'homme, sauvage dans son être, et si familier des conduites humaines.
