Parmi les treize longs métrages et quatre courts métrages qui participeront à cette 70ème édition du Zinemaldia, c’est le film "El vasco" du réalisateur biscayen Jabi Elortegi qui fera l'ouverture de la section Zinemira.
Cette année encore, on trouvera des films dans toutes les sections du Festival, dans la section officielle qui concourt à la Coquille d'or – Le Sacre du printemps, de Fernando Franco, et Suro, de Mikel Gurrea de Saint-Sébastien – ou bien les nouveaux talents qui concourent aux Nouveaux Réalisateurs – A los libros y a las mujeres les canto, de María Elorza–, à la section Zabaltegi -Tabakalera – Cuerdas, d'Estíbaliz Urresola, et Hirugarren koadernoa, de Lur Olaizola –, à travers Nest – Erro bi, de Nagore Muriel, et Noizko basoa, de Mikele Landa– et, bien sûr, par le Vélodrome – Black is Beltza II: Ainhoa, de Fermín Muguruza –.
De même, le Gala du cinéma basque, qui aura lieu le 20 septembre, proposera la projection du film La quietud en la tormenta (La quiétude en la tempête), premier long métrage d'Alberto Gastesi de Saint-Sébastien.
S'y ajoutent désormais les sept films qui seront proposés dans la section Zinemira. Cette section présentera quatre premières mondiales qui, avec six autres films qui seront projetés dans d'autres sections, concourront pour le prix Irizar, doté de 20 000 euros. Parmi eux, El vasco, un nouveau film du biscaïen Jabi Elortegi : il s’agit d’un jeune homme qui fuit en Argentine, fatigué de sa vie en Euskal Herria.
De même, parmi quatre œuvres participant au Prix Irizar, on remarquera également le premier travail de la cinéaste d'Izaskun Arandia participera également au Prix Irizar. La productrice et scénariste de Tolosa tourne pour la première en tant que réalisatrice réalisateur pour tourner une non-fiction intitulée My way out qui se déroule à Londres.
Enfin, le Gala d’EITB (la TV basque) accueillera le documentaire Kepa Junkera berpiztu de Fermin Aio, une œuvre non romanesque axée sur le rétablissement du musicien de Bilbao, ainsi que sur son héritage, après avoir subi un accident vasculaire cérébral en 2018.
Sans oublier la projection hors concours de longs métrages qui avaient déjà été présentés en première, et ne seront pas éligibles pour l'Irizar.