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Encore une « histoire d’eau » : et si le cancer n’était pas une maladie ?
Encore une « histoire d’eau » : et si le cancer n’était pas une maladie ?
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| Pierre Petit 2668 mots

Encore une « histoire d’eau » : et si le cancer n’était pas une maladie ?

Issu d’une véritable lignée de premiers magistrats biarrots (fils aîné de Guy Petit, maire de 1945 à 1977, et petit-fils de Joseph Petit, maire de 1921 à 1929), l’auteur de cet article – Pierre Petit - fut lui-même élu en 1989 pour participer à la nouvelle majorité qui permit à Didier Borotra de devenir maire. Auparavant, en tant qu’ingénieur d'Etat du Conservatoire National des Arts & Métiers, cet humaniste et chercheur passionné avait découvert le phosphate naturel et les gangues silico-calcaires des cellule fossiles lors de son séjour au Maroc en tant que directeur d'une usine d'engrais avant d’obliquer vers le traitement des eaux où il acquit une expérience de 25 ans comme ingénieur à la Compagnie Générale des Eaux et Consultant International pour la Banque Mondiale en Amérique Latine. Après avoir été responsable pendant quinze ans de l’eau et de l’assainissement du district d’Arcachon, milieu très sensible où il fallait préserver de toute pollution le bassin ostréicole, il revint à Biarritz lors de sa retraite professionnelle, en y organisant (en mai 1995) un colloque sur l’érosion du littoral avec la participation des plus grands spécialistes de l’époque.

Durant son mandat d’adjoint à l’expansion économique, Pierre Petit avait étudié entre autres le dossier de la réhabilitation de la Côte des Basques et créé, avec son épouse, l’Université du Temps Libre de Biarritz.

Ces dernières années, il s’était consacré à l'eau dans sa face cachée et son rôle essentiel pour le métabolisme cellulaire en vue d’une nouvelle approche de la santé. Pierre Petit est à l’origine du procédé S.E.V.E (Santé-Eau vitale-Energie) permettant de produire à domicile une eau bio dynamisée qui favorise l'élimination des déchets et toxines de l'organisme, accélère les échanges intercellulaires, réhydrate les tissus et, de ce fait, retarde les effets du vieillissement, voire même éloignerait les risques de cancer. Son livre «  L'eau dans la lumière  » est disponible sur le site www.pierre-eau-vive.com

ALC

 

Et si le cancer n’était pas une maladie ?

Je suis très conscient qu’il y a une prétention insoutenable à proposer, pour le simple ingénieur retraité que je suis, une méthode de soins dans un domaine aussi sensible et aussi protégé que celui du cancer. Je pars de ce principe que la santé appartient, en propre, à chacun d’entre nous et que chacun d’entre nous est habilité à porter un jugement de valeur sur les soins que nous recevons surtout si ces soins n’apportent pas la solution que nous sommes en droit d’espérer.

Voici plus de trente ans que je tente, avec obstination et passion d’élaborer une nouvelle approche de la santé dans le respect de la personnalité de chacun et de comprendre quelles sont les raisons qui peuvent expliquer les déséquilibres du métabolisme. Je vais donc me permettre de vous expliquer ci-après, comment, selon mes convictions, il serait possible de lutter contre un cancer déclaré.

Depuis plus de trente-cinq ans, des milliards de dollars et d’euros ont été dépensés par les équipes de recherche de tous pays pour comprendre et juguler le cancer et l’on est obligé de constater que, non seulement le cancer reste toujours aussi mystérieux mais, de plus, qu’il est en nette progression.

En 1970 la mortalité par le cancer représentait 17% des décès, aujourd’hui elle atteint plus de 31 % avec 150.000 morts par an.

On peut se demander, alors, si la recherche ne s’est pas trompée d’objectifs et s’il ne convient pas de rechercher quelles sont les maladies qui provoquent le cancer et, non pas le cancer en tant que maladie.

Il semblerait, en effet, que l’apparition d’un cancer ait des causes multiples et le plus souvent complémentaires sans que l’on puisse incriminer un produit, une bactérie ou un virus particulier. Le professeur Philippe Belpomme aurait dénombré plus de 1.700 produits que nous côtoyons tous les jours, sans en avoir conscience et qui auraient des propriétés oncogènes. Ces produits sont-ils suffisants pour déclancher un cancer ou ont-ils plutôt un effet d’activation d’un cancer déclaré ?

Parmi les origines les plus probables d’un cancer nous devons rechercher les nuisances géo pathogènes de la géobiologie qui peuvent modifier en profondeur l’équilibre énergétique des cellules vivantes, mais aussi les nouvelles nuisances créées par l’homme, les courants vagabonds, l’électromagnétisme, les écrans cathodiques, les téléphones portables, la pollution de l’eau et celle de l’air, les pesticides, l’abus des médicaments et pour finir le stress.

Mais c’est surtout notre hygiène de vie que nous devrions modifier

Le docteur allemand Geerd Hamer injustement poursuivi et condamné par la justice française a découvert que des traumatismes psychoaffectifs perçus par le cerveau humain pouvaient provoquer des troubles fonctionnels graves au niveau des organes et créer des cancers.

Malgré toutes les recherches effectuées sur la genèse du cancer, il est un élément qui n’est pas pris en considération, c’est le terrain métabolique tel qu’il est défini par les paramètres physico-chimiques de la Bio-électronique de Louis Claude Vincent, du pH, du rH2 et de la résistivité du sang veineux et des liquides organiques. Il existe un terrain à risque qui se manifeste bien avant l’apparition des symptômes et qui devrait alerter les milieux médicaux et les inciter à davantage de vigilance. Des paramètres présentant un trop grand écart par rapport à la zone de bonne santé sont une indication à ne pas négliger. Pour une anomalie déclarée ces mesures pourraient constituer une indication précieuse et leur contrôle périodique une véritable mesure de l’efficacité des soins.

Le cancer est, avant toute chose, une affaire de terrain.

Avant même d’entraîner une dégradation physique, la révélation du cancer provoque des dégâts psychologiques souvent irréversibles qui peuvent créer une aggravation brutale de l’état du patient. L’annonce de l’intervention chirurgicale suivie de chimiothérapie avec les conséquences que l’on connaît, pourrait même selon certains chercheurs, provoquer des métastases.

Selon le livre de Jaqueline Bousquet et de Sylvie Simon « Le Réveil de la Conscience », Guy Trédaniel 2003, en 1974 le docteur H.B. Jones après une étude de 23 ans sur le cancer déclarait : pour un cas typique de cancer, les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement.

Ceci prouve bien qu’il existe une très forte composante psychologique dans le cancer et qu’il faut prendre de grandes précautions avant de déclarer à un patient que l’on va procéder à une opération dans les plus brefs délais d’autant plus qu’il n’y a pas, en général, d’urgence à opérer un cancer qui a mis plusieurs années à se développer. Il convient plutôt de parler de prospection et de tests complémentaires et c’est en cela que les mesures de Bio- électronique pour déterminer le terrain métabolique peuvent être précieuses.

Si, comme cela est probable, le pH sanguin est fortement basique, le potentiel d’oxydoréduction nettement oxydé et la résistivité inférieure à 140 ohms cela confirmerait une prédisposition au cancer et la nécessité d’agir très rapidement sur le terrain métabolique pour inverser le processus par un régime approprié anti- oxydant.

Le terrain métabolique décrit ci-dessus est caractéristique des maladies cardiovasculaires et du cancer ; il est le résultat d’une lente dégradation et d’une accumulation de déchets sur des durées souvent considérables pouvant atteindre plusieurs dizaines d’années. Ce terrain aurait pour origine les habitudes alimentaires, la boisson mal adaptée comportant des excès d’alcool, de liquides oxydés ou trop minéralisés, l’absence d’activités physiques, l’abus des médicaments, le stress, le laisser aller physique et mental….

La question se pose : peut-on rétablir rapidement un terrain compatible avec la bonne santé ? Le carême et le ramadan avaient été institués, dans ce but, par les anciens. Je pense donc que l’on pourrait déjà obtenir un résultat significatif sur une période d’un mois à condition de mobiliser ses forces vives sur tous les plans, physiques spirituels et mentaux.

Nous pouvons constater que nous nous écartons radicalement des pratiques officielles ou l’individu délègue aux médecins et chirurgiens la responsabilité de sa maladie. Dans ce nouveau contexte, c’est le malade, lui-même qui acceptera et prendra en charge son traitement. Celui-ci va commencer par une diète hydrique de plusieurs jours pour éliminer les vieilles habitudes alimentaires mais l’eau utilisée devra présenter toutes les caractéristiques d’une véritable eau biologique car c’est elle qui va jouer le rôle de l’éliminateur des déchets.

Le cancer, une histoire de circulation d’eau.

L’eau est l’élément le plus important de notre organisme : elle constitue 70% de notre masse corporelle qui, pour un homme de 70 kilos, se répartit en 6 litres de sang, 2 litres de lymphe et 40 litres d’eau liée aux tissus organiques et aux cellules. Le sang qui contient 90 % d’eau joue le rôle d’apporteur des nutriments aux cellules et d’éliminateur des déchets. Pour cela le sang va disposer d’une pompe qui aspirera et refoulera la totalité de son volume entre 1.200 et 1.500 fois par jour. Ainsi donc, dans une vie d’homme, le cœur aura pompé quelques 250 millions de litres de sang. Il s’agit là de la fonction la plus importante de notre organisme, celle qui va conditionner toutes les autres.

Et je ne peux m’empêcher d’étudier cette fonction avec mon expérience d’ingénieur en hydraulique et de faire le rapprochement entre les problèmes que j’ai rencontrés dans mon métier et ceux qui peuvent se produire dans notre corps.

Et puisque nous parlons du cancer, je suis convaincu, quant à moi, que le cancer, comme les maladies cardio-vasculaires, est avant toute chose, une affaire de qualité et de bonne circulation des eaux organiques. Ce n’est pas un hasard si le terrain métabolique des maladies cardio-vasculaires et du cancer se situent dans la même zone à risque de la Bioélectronique de Louis Claude Vincent (pH basique, rH2 oxydé, valeur basse de la résistivité). Sur le plan de la circulation sanguine, nous trouvons des causes communes : encrassement de l’espace intercellulaire, charge électrolytique par les sels minéraux oxydés, les radicaux libres, les métaux et les déchets divers en provenance du système cellulaire et du sang lui-même.

Tout ceci apparente davantage le circuit sanguin à un collecteur d’eaux usées qu’à un réseau de distribution d’eau potable. Quand on analyse le fantastique travail effectué par la circulation sanguine en une seule journée on ne peut qu’être admiratif et à la fois incrédule devant la multiplicité et la complexité des tâches accomplies : les 6 litres de sang circulent à des vitesses très différentes, selon qu’ils empruntent les grandes artères ou le circuit des vaisseaux capillaires, mais passent en totalité par le cœur deux fois par minute.

Le réseau capillaire, d’une longueur totale de 100.000 km et d’un diamètre à peine supérieur à celui d’une hématie, est chargé d’irriguer les 2.000.000 de m2 des surfaces tissulaires colloïdales et de pratiquer tous les échanges nécessaires avec le système cellulaire à travers les membranes plasmiques au nombre de 60.000 milliards dont chacune obéit à une programmation particulière.

Que se passe-t-il lorsque le sang ne présente pas les qualités nécessaires pour jouer son rôle d’apporteur des nutriments et d’évacuateur des déchets ?

Rien ne va plus : les artères se bouchent, la pression artérielle augmente, le cœur fatigue ou même présente un infarctus, le sang surchargé en sels minéraux, en toxines, en métaux modifie sa polarité électrique, n’a plus la fluidité nécessaire pour assurer le transit des globules rouges. Ceux-ci, perturbés dans leur charge électrique perdent leur autonomie et s’empilent comme des soucoupes, bloquant la circulation capillaire ; les cellules ne reçoivent plus d’oxygène et subissent les méfaits des radicaux libres.

Ce scénario catastrophe conduit inéluctablement aux maladies cardio-vasculaires, à l’apparition du cancer et à la disparition à moyen terme du malade si rien n’est fait pour modifier la qualité du sang et le terrain métabolique, même si les anticoagulants et autres produits chimiques peuvent prolonger, non sans mal, la vie du patient.

Il est une conséquence, souvent ignorée, du terrain métabolique basique oxydé, c’est le blocage des échanges respiratoires par un excès d’oxydation du sang veineux. Il est nécessaire que le sang ait un potentiel d’oxydoréduction inférieur à 24, c'est-à-dire suffisamment réduit, pour que l’hémoglobine puisse fixer l’oxygène atmosphérique et éviter l’asphyxie.

Que peut-on faire, alors, pour modifier le terrain défectueux ?

Nous savons tous que nous perdons, chaque jour, un minimum de 2,5 litres d’eau par l’élimination rénale, par la respiration, par la sudation ou les matières fécales et la médecine ne se préoccupe guère de la façon dont on compense cette déperdition. La plupart des gens pensent qu’il suffit de boire une quantité équivalente de liquides divers et que l’organisme en fait son affaire. Il n’en est malheureusement rien et ce n’est pas en buvant une eau basique, oxydée, avec une concentration élevée de sels minéraux inassimilables que l’on peut modifier le terrain. Seule une eau très pure possédant des qualités biologiques peut agir dans un sens favorable. Boire de l’eau bio dynamisée serait donc le préalable à tout traitement alternatif d’un cancer déclaré.

Ainsi donc, si on modifie le terrain métabolique dans un sens favorable on éloigne le risque de cancer. Si on rétablit la bonne circulation des liquides internes on peut modifier le terrain métabolique. Si on obtient la bonne polarité électrique de part et d’autre des membranes cellulaires en éliminant les électrolytes, les métaux et les molécules oxydées nous rétablissons le milieu favorable au développement des cellules saines et de leurs défenses immunitaires.

La cellule cancéreuse, une adaptation aux dérèglements de son environnement ?

Lorsque les liquides biologiques présentent des paramètres extrêmes de la Bioélectronique : pH fortement basique, rH2 oxydé, une faible résistivité et une viscosité élevée nous avons vu que la circulation capillaire ne se fait plus et les cellules ne sont plus alimentées en oxygène. De plus il se formerait autour des membranes cellulaires un écran hydraulique constitué par des couches successives de molécules d’eau pentamères liées à des macromolécules oxydées. Cet écran ferait barrage au passage des ions à travers la membrane et empêcherait le transfert des nutriments et de l’oxygène.

Nous avons vu quelles peuvent être les conséquences d’une détérioration du terrain métabolique sur les liquides biologiques mais la question se pose de savoir comment le système cellulaire va réagir à la dégradation du milieu..

Le sang et la lymphe ne jouent plus leur rôle d’apporteur des nutriments et d’élimination des déchets. Leur viscosité élevée, leur polarité électrique inversée, la présence de macromolécules oxydées, de radicaux libres, d’électrolytes, de métaux, de masses d’eaux inertes, le blocage de la circulation capillaire qui ne permet plus aux hématies d’oxygéner les cellules et aux globules blancs d’assurer les défenses immunitaires, condamnent les cellules saines à disparaître ou à s’adapter aux conditions de leur environnement.

Les cellules saines, condamnées à mort par la dégradation de leur environnement, vont utiliser un processus d’auto-défense ultime. Elles vont modifier leur fonctionnement pour devenir invulnérables : elles vont inverser leur polarité électrique et n’ayant plus l’apport d’oxygène par les liquides organiques elles vont utiliser les sucres toujours présents dans ces liquides et dans le cytoplasme pour obtenir de l’oxygène en les dissociant.

Elles vont passer d’un régime aérobie à un régime anaérobie qui va leur permettre de subsister en autarcie indépendamment de leur environnement.

Les cellules vont devenir cancéreuses pour assurer leur survie. Il s’agit là d’une réaction naturelle d’auto défense et non pas d’une maladie !

Ceci devrait nous amener à considérer le cancer avec des yeux nouveaux : confrontées à la dégradation létale de leur environnement, les cellules vont convertir leur organisation interne pour se protéger et protéger également les organes dont elles font partie.

Il semblerait que les responsables de la recherche aient confondu la cause et la conséquence dans les origines du cancer et oublié la responsabilité du terrain dans l’avènement des cellules cancéreuses. Je pense que, dans une existence, nous développons une multitude de petits cancers que les défenses immunitaires et les leucocytes macrophages éliminent spontanément.

Un cancer durable et évolutif ne peut se développer qu’en présence d’une dégradation importante et prolongée d’un organe ou de l’ensemble de l’organisme.

Pierre Petit

 

 

 

 

 

 

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Brigitte .BERGE | 18/08/2017 20:18

où trouver de l'eau "bio"? les eaux minérales naturelles ne sont-elles pas bio?

Figuéréo Blaise | 25/02/2020 09:53

Bonjour , est-ce possible d'avoir un contact par mail avec Monsieur Petit ?

Ah bon? | 04/07/2020 23:28

Dans tout ce que vous dites, pourriez vous apporter une source ? Juste une ? Vous mentionnez des chiffres, des pourcentages...mais d'où sortent ils ?

Herve Level | 03/10/2020 00:27

J ai un appareil NIKKEN dynamyseur et oxygenateur d eau L eau redynamysee et oxygenee est elle alcanisante ? et le s caraffes ALADIN avec la fleur de vie ont elle réellement un effet dynamisant sur les liquides et boissons ? HL Cordialement

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