Après quelques jours de courses « à huis-clos », c’est une ambiance exceptionnellement joyeuse qui a animé l'Hippodrome des Fleurs (rouvert au public depuis le 10 juillet), particulièrement pour le prix groupé de notre « Lettre du Pays Basque / Baskulture » et du château Miller La Cerda qui avait réuni les nombreux invités présents autour d'un exquis buffet apprêté par Pierre Oteiza et « arrosé » des millésimes 2014 et 2015 de ce bordeaux supérieur « A » produit par Alexandre de La Cerda. C'est le n°4, « Haut de Forme », jeune poulain de trois ans entraîné et « drivé » par Sébastien Hardy qui a gagné le prix « Baskulture/La Lettre du Pays Basque » remis sur le podium au vainqueur par Alexandre de La Cerda en compagnie de son épouse Anne, de son ami Louis d’Arcangues et de quelques invitées : Victoria Ogara, venue de Madrid, Marie-Laure de Caslou ainsi que la vice-présidente de la Société des Courses de Biarritz, Sophie Forges de Folleville.
Une belle soirée, « chapeautée » à l'envi, a suivi !
Impossible de citer tous les invités présents en nombre : l’élégante princesse Sophie Galitzine, future coordinatrice des Associations de Noblesse d’Europe, également soprano de talent qui avait offert l’année dernière un récital au château d’Arcangues pour le palmarès du Prix des Trois Couronnes et qui chantera pour la messe de l’Assomption à la cathédrale de Bayonne le 15 août prochain ; ainsi que le marquis d’Arcangues, Laurent Riboulet de Sabrac (titulaire des orgues de Biarritz et organisateur du festival «Biarritz en Chamades »), le Dr Michel de Pérignon, Robert Poulou, nouvel adjoint à la culture de Cambo et grand collectionneur de peinture basque, Bénédicte et Pierre-Yves de Marignan qui avaient quitté leur île de Bérens sur l’Adour, Jeanne Fouquet et Liliane Moulinier, Marie-France Saint-Germier, Gérard Piton (Birdie Club Biarritz, grand golfeur devant l'Eternel, avec tout un groupe d’amis dont Johan Debellefontaine), Jacqueline Daunizeau et ses amis, Jacques Larre, l'architecte Robert Latour d'Affaure et Nickie Hole avec son mari, Eric Labenne-Rougier, investisseur en patrimoine et président des "Plaisirs élégants", avec son épouse Gloria, qui s'installent à Bayonne... Sans oublier bien sûr la présidente de la Société des Courses, l'universitaire Claudie Hassenforder-Chabriac... Avec une mention particulière pour les jeunes Marignan qui ont officié de sommeliers et veillé l'exquis buffet apprêté par Pierre Oteiza ; et pour Claude Thetaz, toujours aussi alerte et jeune d'esprit, armé de son talentueux objectif, ainsi que Manex Barace avec le sien, tout aussi efficace !
Histoire et identité culturelle du terroir intimement liées
Dans son allocution de bienvenue, Alexandre de La Cerda avait présenté ses belles vignes de Merlot qui se trouvent à Saint-Martial, entre Sauternes et Saint-Emilion, près de Malagar, la demeure de François Mauriac, et à quelques pas du château où Toulouse-Lautrec vécut ses dernières années (Malromé), propriété qui, curieusement, avait appartenu sous le nom de « Taste » à la famille de Pierre de Rostéguy de Lancre, le célèbre pourfendeur des sorcières basques ! Non sans évoquer les Bituriges Vivisques – peuple celte établi à l’embouchure de la Gironde un demi-siècle avant Jésus Christ – qui avaient découvert la culture de la vigne et le vin en commerçant avec la Narbonnaise romaine et en adaptant les vignes sauvages des Vascons…
Ni son ancêtre l’Amiral de France Louis de La Cerda qui avait reçu en fief le comté de Talmont-sur-Gironde afin qu’il défende ce dernier réduit du royaume de France face à la rive médocaine au pouvoir des souverains anglais. Le 21 avril 1341, son escadre jetait l’ancre à Bermeo en Biscaye où il négocia pendant deux mois des promesses de soutien car il s’employait à reconstituer la flotte du roi de France disparue dans le désastre du combat naval de L’Ecluse (face à Bruges) contre Edouard III d’Angleterre. C’est de son effigie que son descendant Alexandre de La Cerda a orné ses bouteilles…
Et Alexandre de La Cerda de conclure : « Plusieurs siècles se seront écoulé depuis ces événements et à l’occasion du Prix du Château Miller La Cerda aux Courses de trot de Biarritz, nous avons voulu partager avec vous cette rencontre « magique » entre l’art équestre et le vin, en une subtile alliance d’élégance et de prouesses techniques !
L’année dernière, à l'occasion du 50ème anniversaire de sa création, « The International Wine & Spirit Competition » (concours international des vins et spiritueux situé à Londres) avait récompensé d'une médaille de bronze le millésime 2014 du château Miller La Cerda parmi les milliers de candidats de plus de 90 pays qui concourent chaque année à ce prix viticole prestigieux.
- Auparavant, le château Miller La Cerda, bordeaux supérieur « A », avait été retenu parmi les meilleurs bordeaux supérieurs lors de la sélection opérée par Decanter’s, avant d’être primé au Decanter World Wine Awards 2014 parmi plus de 15.000 vins provenant de 46 pays.
- Exporté dans de nombreux pays, il est servi dans des manifestations de prestige (bal des débutantes à l'hôtel Grosvenor House de Park Lane à Londres sous la présidence de la princesse de Kent, cousine de la Reine, chapitres des « Mousquetaires d’Armagnac », congrès national des « Clefs d’Or » à l’Hôtel du Palais). Il avait été unanimement apprécié par les sommeliers et le chef de l’Hôtel Ritz à Paris lors du dîner de gala du 69e concours - « le Goncourt de la gastronomie » - du Club Prosper Montagné.
Avec son encépagement 100% Merlot, ce « vin de plaisir » produit dans notre chai, entièrement rénové il y a sept ans, est inscrit à la carte de nombreux restaurants étoilés.
Et Alexandre de La Cerda d’inviter l’élégante assistance à goûter à l’exquis buffet apprêté par la maison Pierre Oteiza, toujours fidèle à la grande qualité de sa production charcutière aux Aldudes qui illustre cette excellence gastronomique basque des saveurs et des produits du terroir. Elle jouissait déjà de l’appellation d'origine contrôlée de la viande de porc Kintoa AOC et du jambon du Kintoa AOC, ainsi que l’AOP Kintoa en viande fraîche au niveau européen, pour ce porc autochtone basque qu’il a sauvé et fait revivre. Et l’année dernière, son jambon avait reçu sa consécration en bénéficiant lui aussi de l’AOP au niveau européen !
Château Miller La Cerda, bordeaux supérieur « A »
Millésime 2014 : sa robe est soutenue, couleur pourpre avec des reflets rubis - Nez net et intense, avec des notes de bourgeon de cassis frais et des nuances toastées discrètes. Bouche ronde en attaque, portée par des tanins plus musclés en finale et sur des arômes frais de crème de mûre.
La caisse de 12 bouteilles à 110 € (soit 9,16 € la bouteille de 75 cl)
Millésime 2015 : gourmandise et élégance, douceur fruitée et boisée alliée à la vigueur d’un vin encore jeune. La robe est pourpre intense avec des reflets violines. Le nez, aromatique, présente des senteurs de cassis et de prune au chocolat. En bouche, attaque ronde avec de la structure sur des notes de fruits noirs. La finale rappelle des saveurs vanillées et chocolatées de pâtisserie.
La caisse de 12 bouteilles à 105 € (soit 8,75 € la bouteille de 75 cl)
Millésime 2017 : cru rare dans le Bordelais et prometteur pour la fusion du fruité et du boisé, encore très vigoureux. La caisse de 12 bouteilles à 78 € (soit 6,50 € la bouteille de 75 cl)
Exceptionnellement, la livraison est gratuite au Pays Basque et région environnante.
Paris et autres destinations en France : livraison gratuite à partir de 2 caisses Renseignements et commandes au tél. 06 62 72 56 49 ou
contact@chateau-millerlacerda.com
www.chateau-millerlacerda.com
1. Anne et Alexandre de La Cerda avec Louis d’Arcangues et leurs amis félicitent le vainqueur
2. Louis d'Arcangues entouré de Vic et Inès Ogara, Anne et Alexandre de LC, Milo de Caslou, Michel de Pérignon
3. le vainqueur : « Haut de Forme » entraîné et « drivé » par Sébastien Hardy
4. Une des membres de l'Association des Amis d'Arnaga et son amie diplomate
4. Les capelines de jeunes élégantes flottaient dans l'air. Au premier plan Marie-Thérèse de Caslou, Inès Rotaeche-Ogara et leurs amies.
5. La fine équipe Marignan à l'oeuvre au buffet très ventilé ! Merci les enfants !