Bayonne
❊ L’artiste-peintre Gloria Vinci a été invitée par Martine Conquéret, responsable du Festival du cinéma chrétien (5ème édition) à créer le prix qui sera décerné cette année : il s’agit d’une peinture sur bois, inspirée des icônes.
Artiste peintre et dessinateur née à Genève, d’origine italienne, naturalisée française, à la formation et au parcours artistique international, Gloria Vinci avait obtenu son premier prix d’exposition de jeunes talents en Chine à l’âge de 14 ans.
Puis, elle enchainera les expositions internationales. A 20 ans, elle part vivre à Paris pour suivre les cours de l’Ecole du Louvre et travailler à la galerie ArtCurial.
Entre 2002 et 2003, elle vit et travaille à Venise. Participe à plusieurs salons à Rio, Sao Paulo, Las Vegas, Dubaï, Paris et Shanghai.
Gloria Vinci s’installera à Bayonne en 2020 : l’artiste nous surprend par la figuration, la composition et les thèmes, en nous transportant vers l’onirisme.
Donne des cours et des stages de dessin et de peinture à Bayonne et Anglet.
Contact email : gloriavinci@hotmail.fr / Tél. 06 42 62 83 07 Sites : www.france-art-realisation>gloriavinci www.facebook.com>gloria vinci art
Toujours à Bayonne :
❊ Projections le vendredi 25 août
- la séance du vendredi à 15h à la Médiathèque centre-ville : chaque vendredi, les bibliothécaires vous proposent un film des années 80 sélectionné par leurs soins (gratuit).
- Festival Paseo – cinéma en plein air ce vendredi à 21h30 aux portes de Mousserolles : « Le peuple Loup » En Irlande, au temps des superstitions et de la magie, Robyn, une jeune fille de 11 ans aide son père à chasser la dernière meute de loups. Mais un jour, lors d’une battue en forêt, Robyn rencontre Mebh, petite fille le jour, louve la nuit…
❊ Projection le mercredi 30 août : la séance ciné du mercredi, la Médiathèque de Bayonne sélectionne un film pour les enfants. À 10h30 à la Médiathèque. Gratuit.
❊ Projection le vendredi 1er septembre à 15h à la Médiathèque centre-ville : chaque vendredi, les bibliothécaires proposent un film sur le thème du Rugby sélectionné par leurs soins. Gratuit.
Ciboure
« Les Sorcières d'Akelarre » projeté au fronton dimanche 27 août à 21h30 (gratuit) - notre photo de couverture : le tournage des « Sorcières d'Akelarre »
C’est sur la belle plage de Laga située dans la Réserve de la Biosphère d’Urdaibai près d’Elantxobe en Biscaye ainsi qu’à Lesaka en Navarre et à Sare et Saint-Jean-de-Luz en Labourd que s’étaient donné rendez-vous (devant les caméras) les « sorcières » qui figurent dans « Akelarre », le cinquième long métrage du cinéaste argentin Pablo Agüero (« Eva ne s'endort pas » (2015), « Salamandra », 2005).
L’action se déroule au Pays Basque en 1609. Les hommes de la région naviguent au large. Amaia, 14 ans, participe à une fête nocturne improvisée dans la forêt avec d'autres filles du village. Le juge Pierre de Rostéguy de Lancre, chargé par le roi Henri IV de purger la région de ses sorciers, les arrête et les accuse de sorcellerie. Amaia commence à offrir de la résistance au juge avant d'entrer peu à peu dans son jeu. Farouche et rusée, elle va progressivement prendre les rênes d’un duel de plus en plus intime… Le film présente une très jeune distribution dirigée par Amaia Aberasturi et Álex Brendemühl. Le directeur de la photographie est Javier Agirre (lauréat d’un prix « Goya » pour « Handia » en 2018) et la direction artistique est signée par Mikel Serrano (également un « Goya » pour « Handia »). La musique est interprétée par Maite Arroitajauregi d’Eibar.
Ce film, tourné à l’origine en espagnol et en basque, a obtenu cinq « goya » (prix décernés par l'Académie des arts et des sciences cinématographiques d'Espagne)
Ce film avait enregistré 50 000 entrées dans les cinémas français.
Malheureusement, dans les "déclarations d'intention" des uns et les commentaires des autres, il est toujours question de ce "marronnier" (en termes journalistiques, un sujet qui revient chaque année) que constitue l'aspect "répressif de l’église catholique romaine et de son Inquisition" auquel de bonnes âmes ajoutent encore "un antisémitisme échevelé" !
Or, en ce qui concerne les procès de 1609, instrumentalisés par le pouvoir royal, ils répondaient à des questions essentiellement "géopolitiques", et ce sera plutôt l'évêque de Bayonne qui y mettra fin lorsque des prêtres du diocèse seront accusés de... sorcellerie !
D'où le rappel historique dans mon article :
https://www.baskulture.com/article/a-propos-du-film-akelarre-projet-actuellement-la-vritable-histoire-des-sorcires-basques-4190
Après la côte basque, le film « Vaincre ou Mourir » arrive en Espagne
Le film « Vaincre ou mourir », fresque cinématographique qui raconte l’épopée de La Vendée à travers le regard du général Charette, arrive dans les salles de cinéma espagnoles pour le 15 septembre. La distribution par Bosco Films permettra ainsi au public espagnol de découvrir les horreurs qui avaient suivi la révolution française mais aussi de faire connaissance avec François-Athanase Charette (1763-1796), interprété par l’acteur français Hugo Becker.
Le destin tragique et grandiose de ce héros devenu chef de guerre, est inconnu de la plupart des Espagnols. Tout comme le « premier génocide de l’ère moderne » commis entre 1793 et 1794 par la République française. En France, ce film sorti le 25 janvier dernier avait atteint 300 000 spectateurs.
Un beau succès, inattendu pour un film à faible budget, sans grandes stars et précédé par des critiques plus que défavorables, quand il ne s’agissait pas tout simplement d'un véritable lynchage médiatique.
Succès d'autant plus inattendu par rapport - par exemple - à "Slava Ukraini", le dernier film de BHL, qui n'avait réuni que 208 spectateurs le premier jour, alors que la critique l'avait pourtant plus que chaleureusement saluée... Seulement voilà, le public en avait décidé autrement !
Il est vrai que les précédents films de notre brillant philosophe n'avaient guère affolé le box-office : 1.475 spectateurs pour Le Serment de Tobrouk (2012), 3.567 entrées pour Pershmerga (2016).