Avec le printemps, tout renaît ! Même les murs démolis de l’ancienne école de la rue Jacques Laffitte ont repoussé, offrant une nouvelle perspective au musée Bonnat Helleu.
Sous la houlette de l’efficace directrice du Musée Bonnat- Helleu et conservatrice du Musée Basque, Sabine Cazenave, le chantier du musée qui avait pris du retard à cause de la découverte d’un site archéologique puis du Covid mais également une mauvaise gestion, avance à rythme soutenu.
A l’intérieur de la partie ancienne du musée, le personnel se mobilise pour contrôler individuellement plus de 7500 œuvres et objets patrimoniaux. Etant donné son fonds de 3500 dessins exceptionnels, le musée a recruté la conservatrice restauratrice Cécile Bignon en charge du des arts graphiques.
Restaurateurs publics et privés sont venus épauler l’équipe de conservateurs-restaurateurs dirigée par Fleur Foucher, afin de préparer les 1300 œuvres de la collection permanente. Après deux ans de restaurations, les peintures, sculptures, objets d’art, mobilier et objets archéologiques de cet ensemble sont prêts à être déplacés dans le nouveau parcours.
Au fil des restaurations, un buste en bronze daté de 1889 des collections du musée, figure le buste de Sarah Bernard (1824-1923) sculpté par Jules Chaplain. Le médaillon ainsi mis en exergue, l'équipe du musée a souhaité rendre hommage au centenaire de la mort de la grande commédienne qui porta avec brillot le personnage de l’Aiglon » dans la pièce d’Edmond Rostand. Aussi au Musée d'Arnage, un portrait en pied à l’huile dans le rôle du dauphin en uniforme blanc peint par Théobald Chartran (1849-1907) immortalise l’actrice « à la voix d’or » comme l’a si bien décrite Victor Hugo.
De métamorphose en métamorphose, celle du musée d’après les plans du Cabinet Brochet Lajus Pueyo semble bien suivre son cours. Pour doubler la surface totale du musée Bonnat-Helleu, il faudra attendre en principe 2015.
Au fil des restaurations, un buste en bronze daté de 1889 des collections du musée, figure le buste de Sarah Bernard (1824-1923) sculpté par Jules Chaplain. Le médaillon ainsi mis en exergue, l'équipe du musée a souhaité rendre hommage au centenaire de la mort de la grande commédienne qui porta avec brillot le personnage de l’Aiglon » dans la pièce d’Edmond Rostand. Aussi au Musée d'Arnaga à Cambo, un portrait en pied à l’huile dans le rôle du dauphin en uniforme blanc signé Poiret peint par Théobald Chartran (1849-1907) immortalise l’actrice « à la voix d’or » comme l’a si bien décrite Victor Hugo.
De métamorphose en métamorphose, celle du musée d’après les plans du Cabinet Brochet Lajus Pueyo semble bien suivre son cours. Pour doubler la surface totale du musée Bonnat-Helleu, il faudra attendre en principe 2015.