La première reine des Francs, une princesse lépreuse, un prince dissipé, un empereur en pleine guerre… Du roi David à Charles de Habsbourg, en passant par sainte Clotilde, saint Louis, modèle de roi catholique, ou sainte Brigitte de Suède, voici vingt récits de nobles personnages, serviteurs du Bon Dieu !
Têtes couronnées ou princes du sang, ces saints ont marqué l'histoire et l'Église : sainte Hélène, l’impératrice qui retrouva la vraie Croix au IVème siècle, sainte Marguerite d’Ecosse qui se dévoua pour les pauvres, saint Ferdinand d’Espagne, le roi de la Reconquista, ainsi que Sainte Casilde, la fille de l’émir de Tolède, qui se convertit à la Foi catholique en s’intéressant aux prisonniers chrétiens de son père musulman, soit des destins édifiants de nombreux souverains qui furent reconnus saints ou bienheureux à travers les siècles.
Auteur de plusieurs vies de saints, d’une histoire du Mont-Saint-Michel et de récits pour enfants, Blanche Rivière fait découvrir ces destins hors du commun proposés en exemple dans son nouvel ouvrage, un magnifique album pour enfants intitulé « Belles histoires de Saints Rois et de Saintes Reines » publié chez Artège - Le Sénevé !
Pour jeunes lecteurs, un ouvrage aux récits passionnants, illustrés de dessins aux couleurs chatoyantes par Alice Belmont, Natacha Castelain, Cécile Guinement, Fachri Maulana, Thomas Tessier et Aleksandar Zolotic.
"Belles histoires de saints rois et de saintes reines" de Blanche Rivière / éditions Artège / 18,90 €
Un album à recommander et à offrir. À rebours de nombreuses séries Netflix
Ce bel album publié chez Artège nous paraît autrement plus « sain » et édifiant pour nos chères « têtes blondes » que beaucoup de séries diffusées sur Netflix.
En authentique missionnaire du wokisme aux contenus souvent calibrés selon les canons d’une pensée unique mondialisée, et qui sous les dehors du divertissement propage un endoctrinement culturel néfaste : méprisant l’héritage occidental, la stabilité familiale, la religion et l’identité nationale, ses récits font tourner en boucle archétypes et valeurs de sexualisation précoce, inversion des rôles familiaux, dénigrement des hommes, moqueries ciblées contre le christianisme et la tradition.
Par exemple la mini-série télévisée britannique "Adolescence", également "promue" sur la chaîne TF1, et littéralement farcie de propagande woke favorisant les tensions inter-ethniques : ainsi, parmi les collégiens dans le 2ème épisode, on voit des jeunes garçons blancs très méchants, et les noirs très gentils (avec entre autres la scène ridicule du blanc qui harcèle le noir, lequel fait une tête de plus que lui, personne n'y croit), bref des scènes d'inversion accusatoire prouvant qu'on est bel et bien dans une fiction supervisée par Netflix qui représente souvent de façon caricaturale les blancs comme masculinistes et agresseurs, alors qu'aux noirs est uniquement dévolu le rôle de victimes…
Après, on peut toujours se demander pourquoi des jeunes filles (souvent blanches) sont violées par des adolescents (qui ne sont pas tous noirs ou maghrébins… mais) et pourquoi on découvre trois couteaux chez un gosse de moins de neuf ans (!) désireux de… tuer sa maîtresse (d'école) !