La date du samedi 14 janvier (à 19 heures) est d’ores et déjà cochée sur les agendas des millions d’amateurs d’opéra, dont la diffusion est mondiale, simultanément dans quelque 70 pays. La Gare du Midi fait partie du réseau de distribution Pathé qui assure les retransmissions et fait figure d’exemple, les diffusions se déroulant dans une vraie salle de spectacles, contrairement à la majorité qui se déroulent dans des salles de cinéma.
Un opéra inédit, sur la scène comme sur l’écran, avec Fedora, œuvre de Umberto Giordano, trois actes (durée 2h40) interprétés en italien et sous-titré en français. Mise en scène de David McVicar, direction musicale Marco Amiliato. Dans les principaux rôles, Sonya Yoncheva (Fedora), Rosa Feola (Olga), Piotr Beczala (Loris Ipanov), Artur Ruciński (De Siriex).
L’histoire : Après l’assassinat de son fiancé à Saint-Pétersbourg, la princesse Fedora se rend à Paris pour y retrouver le comte Loris Ipanov, suspect numéro un. Il lui confesse son amour mais aussi son crime, qu’elle s’empresse de dénoncer aux autorités russes. Les sentiments de Fedora changent lorsqu’elle apprend le mobile légitime du crime de Loris, sauf que son aveu à la police a provoqué des évènements aux conséquences irréversibles…
Pourquoi aller voir cet opéra ? Le drame exaltant d’Umberto Giordano, tiré de la pièce éponyme de Victorien Sardou de 1882, revient sur la scène du MET pour la première fois depuis 25 ans. La mise en scène sophistiquée révèle les cadres idylliques dans lesquels se déploie l’action : un palais de Saint-Pétersbourg, un salon parisien à la mode et une villa pittoresque suisse.
Samedi 14 janvier à 19 heures à la Gare du Midi de Biarritz, en direct de New-York